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Coeur cannelle
26 février 2016

L'abat-jour bleu n°2

 

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Après ce premier essai d'abat-jour bleu la semaine dernière, j'ai réitéré l'expérience avec le grand abat-jour.

 

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Ici, j'ai utilisé du papier kraft bleu (celui vendu comme papier d'emballage de cadeaux). Il est beaucoup moins rigide que les papiers que j'utilise habituellement pour les abat-jours. J'ai donc usé et abusé des collages, pour lui donner plus de tenue. Il faut dire que la surface est plus grande. Cet abat-jour fait 40 cm de diamètre. Vu de près, le résultat n'est pas vraiment convaincant, mais cet abat-jour est très éphémère. Cela fera l'affaire.

 

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J'ai appliqué la technique de mon cahier de citations. J'ai collé des images glannées par ci par là. Je les ai associées à des pages de livres, des citations calligraphiées et surtout, un marque-page (visible sur la 2ème photo, accroché par une ficelle en lin) reçu en cadeau par ma copine scrappeuse [Pause ~ intemporelle]

 

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19 février 2016

L'abat-jour bleu

 

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Ambiance glaciers dans mon salon pour ce mois de février. J'ai accroché des rideaux bleus, mis les coussins coordonnés, sorti quelques tableaux d'insectes. Restaient les abat-jours dont le vert printanier ne collait pas tout à fait à l'ambiance recherchée.

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Pas grave ! Je sors mes papiers, mes pinceaux et je confectionne deux abat-jours dans les tons. Voici le plus petit.

 

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Calligraphie largement inspirée des voeux 2016 d'Elisabeth Couloigner.

5 février 2016

Le cahier de stage

 

J'ai pris l'habitude de prendre des notes lors des stages auxquels je participe. J'ai dédié un cahier à ces précieuses informations. Mais ce cahier à la couverture commerciale ne me convenait pas. Vous me connaissez maintenant. Une petite customisation s'imposait. Ni une ni deux, j'ai sorti mes pinceaux et ma boîte d'images et me voilà en quête d'inspiration. C'est un tableau en cours qui a déterminé le choix des couleurs. Peinture, collages, calligraphie et quelques heures plus tard, le tour était joué.

 

 

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Je l'aime bien ce cahier, avec ses couleurs toniques et ses petits portraits de Fornasetti.

 

 

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Et à propos de stage, je reviens tout juste d'un week-end avec Vincent Genesley. Il faudra que je vous montre quelques photos. Je m'y colle dès que le ciel est moins gris.

 

29 janvier 2016

Classeur en mode Cosplay

 

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Cet été, j'ai mis à profit mes vacances pour décorer un classeur de récup'. Vous savez, ces vieux classeurs gris très costauds mais qui, même neufs, semblent dater de la dernière guerre.

 

 

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J'ai déjà customisé des couvertures de cahier (ici, ici ou encore ici), mais je n'avais jamais tenté l'opération sur un classeur. Pour diminuer la forte granulomatrie de la couverture, j'ai passé une couche de gesso sur l'ensemble du classeur. Cela n'a pas suffit mais l'effet peau de crocodile est finalement assez intéressant. Puis, comme souvent, j'ai commencé par quelques collages de pages de livres anciens. J'ai aussi collé des chiffres découpés dans un carton d'emballage. L'inspiration n'est pas venue tout de suite et j'ai eu du mal à choisir la couleur. Le classeur est donc resté quelques jours de côté.

 

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Et puis, allez savoir pourquoi, j'ai eu envie de rose. Je me suis donc amusée avec mes peintures acryliques. Comme toujours, je patouille jusqu'à ce que le résultat me convienne. Une fois le fond terminé, j'ai encore hésité sur la finition à apporter. Faire des collages d'images ? Lui donner un côté contemporain ou plutôt ludique ? Calligraphier une citation ou un mot ? Finalement, j'ai trouvé l'inspiration dans un livre emprunté à la bibliothèque : Sashiko d'hier et d'aujourd'hui. Un livre écrit par Satomi Sakuma sur une technique de broderie traditionnelle japonaise. Mon classeur allait donc avoir un esprit nippon.

 

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J'ai dessiné des fleurs et notamment ce magnifique chrysanthème que ma copine Nathalie avait brodé sur sa robe de mariée. Et puis, j'ai ajouté au pinceau des jolis points à la manière des sashiko. J'aime ces motifs simples que j'avais déjà semé sur une jupe customisée il y a quelques années. 

 

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22 mai 2015

Toute une vie en papier

Chose promise, chose due. Voici les personnages en papier et fil de kraft réalisés pour l'anniversaire de M. Coeur Cannelle. Huit épisodes de sa vie.

 

 

A l'adolescence, M. Coeur Cannelle est un fan de football. Tous les dimanches matin, on peut le rencontrer sur les terrains de son village ou des alentours.

 

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En plus d'être sportif, M. Coeur cannelle est aussi mélomane. Il a bien appris à jouer du piano, mais c'est le chant qu'il préfère. Aujourd'hui encore, il aime retrouver ses copains pour pousser la chansonnette.

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Et puis un jour, il rencontre Mme Coeur Cannelle. Elle n'aime pas le foot ... mais elle a d'autres qualités.

 

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Quelques années passent dans un appartement en ville. Mais il songe à construire leur nid. Ce sera un vieux moulin dans une jolie vallée. De ses mains, M. Coeur Cannelle retape la maison. Longtemps, ça sent le plâtre et l'enduit.

 

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Et la maison se remplit d'enfants. Un garçon puis une fille. Les journées sont bien occupées.

 

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Monsieur continue à bricoler. Il a un très grand atelier. C'est que le travail ne manque pas dans cette maison toujours en travaux.

 

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Les années passent encore. Les enfants grandissent. La maison est presque finie. Pas grave ! Il reste le jardin. Et tout doucement, M. Coeur Cannelle se met aussi à jardiner. Il aime ça.

 

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Et puis, il songe à reprendre le sport. Trop vieux pour le foot ?! Ce sera la pétanque.

 

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26 décembre 2014

L'art d'imprimer # 4

Allez ! Un petite quatrième et dernière technique apprise lors du stage chez Jeanine Sold en novembre : l'impression à la colle.

Des quatre techniques, c'est certainement celle qui nécessite le moins de matériel : du carton épais, de la colle blanche (ou colle à bois). Dessiner des formes au crayon de papier sur le carton. On peut décalquer le dessin si l'on n'est pas sûr de soi. Encore une fois, les mots doivent être écrits à l'envers. On fait couler sur ces traits un filet de colle blanche jusqu'à former un petit boudin. On peut utiliser directement le pot de colle s'il est équipé d'un embout. Pour ma part, j'ai appliqué la colle au pinceau pointu en repassant plusieurs fois sur chaque trait. Le trait est plus régulier et forme moins de pâtés qu'avec un embout. La colle doit être assez liquide pour couler facilement mais assez épaisse pour former un petit boudin. En effet, la colle se rétracte en séchant et diminue donc d'épaisseur. Une fois le dessin parfaitement sec, on peut l'encrer en suivant la même méthode qu'avec les techniques précédentes. 

 

 

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Ci-dessus, le carton encré et ci-dessous, le résultat.

 

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Au final, la technique qui m'a le plus séduite est l'impression sur polystyrène. Rapide à mettre en oeuvre, réutilisable à l'infini, peu chère et au rendu très intéressant, je vais certainement y faire appel régulièrement si je dois faire des impressions en grand nombre. Seul inconvénient, c'est une impression en creux.

Je tiens à remercier Jeanine Sold pour le partage de toutes ces techniques. Si vous en avez l'occasion, n'hésitez pas à vous inscrire à l'un de ses stages. Metz est une très belle ville et Jeanine une professeur généreuse et à l'écoute.

 

12 décembre 2014

L'art d'imprimer # 3

Troisième technique d'impression apprise lors du stage avec Jeanine Sold : l'impression à la gélatine.

 

DSC_0554Etape 1 : préparer de la gélatine suivant la recette suivante.

Faire fondre 44 g de gélatine alimentaire dans 900 ml d'eau. Chauffer doucement en remuant sans dépasser 60° C.  Lorsque la gélatine est bien fondue, verser lentement (pour ne pas faire de bulles) dans un plateau rectangulaire sur environ 2 cm de hauteur.  Mettre au frigo jusqu'au lendemain pour la faire figer. On peut alors s'en servir plusieurs heures (la notre est restée à température ambiante une bonne après-midi sans montrer aucun signe de faiblesse). Cette gélatine se garde une  bonne semaine au réfrigérateur. Au-delà, elle risque de moisir. Mais on peut tout de même la réutiliser. Il suffit de la couper en cube et de la congeler. Pour la réutiliser,  la refaire fondre doucement dans une casserole et la couler à nouveau dans un plateau.

 

 

DSC_0556Etape 2 : Etaler de l'encre d'imprimerie sur une plaque en verre. Une plaque de marbre ou de plastique fera l'affaire, du moment que la surface est bien lisse et non poreuse. Cette étape permet de travailler avec une couche très fine et homogène de peinture. On pourrait certainement étaler la peinture directement sur la gélatine mais le résultat ne serait pas le même. Et puis, la plaque risque de s'abîmer plus vite.

 

 

 

 

DSC_0555Etape 3 : avec un rouleau encreur, étaler l'encre en couche très fine sur la gélatine. Ne vous inquiétez pas si vous voyez à peine l'encre. C'est normal.

 

 

 

 

 

 

DSC_0560 Etape 4 : disposer des formes en papier découpé ou des élements divers (ficelle, feuille d'arbre, ...) sur la plaque encrée. Si vous déposez des lettres ou des mots, n'oubliez pas qu'ils seront imprimés à l'envers.

 

 

 

 

 

 

DSC_0562Etape 5 : déposer une feuille de papier sur la plaque encrée.

 

 

 

 

 

 

 

DSC_0564Etape 6 : appliquer en frottant avec le plat de la main. Il n'est pas nécessaire d'appuyer fort mais de façon uniforme.

 

 

 

 

 

 

 DSC_0565Etape 7 : soulever délicatement la feuille imprimée. Veillez, durant toutes ces opérations, à ne pas donner de choc à la plaque de gélatine. Un ongle mal placé peut faire une marque irréparable.

 

 

 

 

 

 

DSC_0567Voici le  résultat obtenu.

 

 

 

 

 

 

 

 

Et voici ma propre réalisation. J'ai écris puis évidé le mot "Voeux" sur une feuille de 12 cm de haut sur 21 cm de large. J'ai placé cette feuille à l'envers sur la plaque de gélatine encrée (mélange de rouge et de bleu). J'ai imprimé une feuille au format A4 : le mot voeux apparaît en rose au travers du pochoir ainsi que la partie basse de la feuille. J'ai recoupé cette feuille A4 pour former un carré de 21 x 21 cm. Le texte "Meilleurs voeux" est rajouté à la plume et à  la gouache. Le nombre 2015 est réalisé au pochoir.

 

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Cette technique ressemble beaucoup à la technique de la gelli plate, technique fétiche des scrappeuses. La gélatine maison a certes quelques inconvénients : elle est un peu longue à préparer (il faut y penser la veille), elle est un peu fragile (certainement plus que la gelli plate) et se conserve une semaine seulement au réfrigérateur. Mais le gros avantage reste son prix. Alors qu'une plaque de gelli plate de 30x35 cm coûte environ 70 euros, celle-ci revient à quelques centimes. A vous de voir ce que vous préférez ...

 

5 décembre 2014

L'art d'imprimer # 2

Cette deuxième technique nécessite une plaque de polystyrène. Il  faut la choisir suffisamment dense pour pouvoir la graver. Le motif est d'abord travaillé sur papier brouillon puis reproduit sur la plaque avec du papier calque. Attention à écrire à l'envers sur la plaque si vous voulez graver un mot ou une phrase. Ici, j'ai choisi d'écrire le mot Noël en rustica. Le mot est gravé avec un pic à brochette en bois.

 

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Comme pour la collagraphie, il faut étaler l'encre sur une plaque de verre avec un rouleau encreur afin d'obtenir une très fine couche de couleur. On l'applique sur la plaque de polystyrène puis on positionne le papier sur lequel on appuie avec le plat des mains. Il reste à retirer le papier pour découvrir le résultat. La plaque peut facilement être nettoyée à l'eau pour imprimer une nouvelle feuille.

 

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Une fois la technique maîtrisée, il est parfois difficile de s'arrêter. Voici une petite partie des feuilles imprimées.

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21 novembre 2014

L'art d'imprimer # 1

Début novembre, je suis retournée à Metz pour suivre un stage animé par Jeanine Sold : Couleur & calligaphie : le mot et son image. Derrière cet intitulé se cachait en fait un stage sur l'impression. Nous avons travaillé quatre techniques d'impression différentes. Aujourd'hui, je vais vous parler de la collagraphie. Dans cette technique, il s'agit de coller des matériaux sur un carton rigide puis de les imprimer sur le papier (ou le tissu).

 

Concrètement, nous avons tout d'abord sélectionné différents matériaux aux textures variées : feuille d'arbre, dentelle, tissu, papier aluminium, plume, toile de jute, riz, etc ... . Nous les avons collé avec de la colle à bois sur un carton épais en créant une composition. Une fois la colle sèche, nous avons vaporisé du vernis sur toute la surface. Cette couche de vernis servira à protéger les matériaux en créant une isolation avec l'encre.

 

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Une fois le vernis sec, nous avons encré cette collagraphie avec un rouleau encreur et/ou un pinceau brosse. Il reste alors à procéder à l'impression. Poser le papier sur la surface et appuyer avec les mains de façon à ce que toutes les textures soient imprimées. Même si les résultats obtenus n'ont pas été probants, je pense que cette technique mérite d'être approfondie. J'en veux pour preuve les essais découverts sur les blogs de Patchacha ou de Tiroirs-miroirs. En cherchant un complément de renseignements sur internet, j'ai aussi lu que cette technique était plus efficace avec une presse.

 

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28 octobre 2014

Marrons à la manière de ...

 

 

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Pour beaucoup d'entre nous, le marron est un peu la madeleine de Proust du mois de septembre. Il nous ramène aux cours de récréation de notre enfance. Aux animaux et personnages que nous nous amusions à fabriquer avec des allumettes.  Aux jeux de marelle dont il devenait le pion.

 

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 Allez savoir pourquoi, aujourd'hui, ce marron m'emmène dans des contrées lointaines. Il dévoile une peau sombre et luisante de beauté africaine. Se pare d'or et m'invite au luxe, au calme et à la volupté d'un voyage en Orient. 

 

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L'occasion de sortir ses pinceaux pour s'amuser à la manière de Bicocacolors.

 

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16 septembre 2014

Graines d'enveloppes

 

Vous savez combien j'aime utiliser les restes. Chez Coeur cannelle, rien ne se jette, tout se recycle. Or, la calligraphie demande beaucoup d'entraînement. J'utilise donc énormément de papier brouillon. Certains peuvent se recycler. C'est le cas des brouillons de ces essais de gestuelle

 

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Certaines de ces enveloppes sont minuscules. Elles serviront à emballer des graines de plantes qui pourront ainsi voyager chez mes amies jardinières.

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30 mai 2014

Coeur de bois

Notre amie Cécile avait récupéré de belles rondelles de cèdre. A sa demande, M. Coeur cannelle les a transformées en gros coeur de bois. Avez-vous déjà eu l'occasion de sentir le merveilleux parfum du cèdre fraîchement coupé ? C'est une très belle expérience olfactive.

 

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28 janvier 2014

Un hôtel 3 étoiles pour les insectes

 

Cet hiver, M. Coeur cannelle a construit une cabane à insectes. Notre objectif, offrir le gîte à toutes sortes d'insectes utiles au jardin. Si vous souhaitez construire le vôtre, je vous conseille la lecture de cette page réalisée par l'association Terre Vivante.

 

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17 décembre 2013

Une forêt de sapins ... de Noël

 

 

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M. Coeur cannelle a eu la bonne idée de créer des sapins de Noël en fil de fer et bois. Je vous laisse admirer le résultat. Sympa, non ?

 

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13 décembre 2013

Un nouvel abat-jour de Noël

 

Comment adapter sa déco aux différentes saisons sans dépenser beaucoup d'argent ? En la fabricant. Voici un abat-jour réalisé l'hiver dernier pour accompagner celui-ci. Et une fois n'est pas coutume, voici un DIY pour vous donner l'occasion de le réaliser vous-même. Cadeau ....

 

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Avant / Après

 

 

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 Prendre les mesures de l'abat-jour (hauteur et diamètre). Reporter ces mesures sur un cartonde type Canson. Ajouter quelques centimètresau côté leplus long. Cela vous permettra de coller les deux extrémités du rectangle entre elles pour fermer le cercle. J'ai aussi ajouté un ou deux centimètres à  la largeur pour être sûre que le nouvel abat-jour couvre bien l'ancien. 

 

 

 

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Calligraphier une citation, des mots. Ici, j'ai choisi d'écrire le mot Noël en différentes langues. J'ai utilisé de la gouache blanche et des pinceaux et plumes de différentes tailles. Des traits de crayons ont été tirés pour écrire droit. Si vous n'êtes pas sûre de vous, vous pouvez faire un essai de placement au crayon ou sur un papier brouillon.

 

 

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Une fois le texte écrit et sec, positionner le carton autour de l'abat-jour pour vérifier les mesures. Le nouvel abat-jour ne doit être ni trop lâche (il ne tiendrait pas tout seul) ni trop serré (il faut pouvoir l'enfiler sur l'abat-jour d'origine). Marquer d'un trait l'endroit où les deux extrémités se superposeront. Les coller sur 2-3 cm avec de l'adhésif double face ou de la colle. Faire les raccords d'écriture nécessaires pour que la ligne de collage soit discrète. Glisser ce nouvel abat-jour sur l'ancien. Si les mesures ont été bien prises, le nouvel abat-jour tient tout seul. Dans le cas contraire, on peut rattraper un petit jeu en glissant un carton plié entre les deux abat-jours (comme on le ferait sous le pied d'une table bancale).

Voilà une déco personnalisée à moindre frais. A vous de jouer !

 

12 octobre 2013

Black and White

 

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Des formes douces, généreuses. Les courges, rapportées à la maison il y a quelques jours, sont le prétexte à un exercice graphique en noir et blanc. C'est l'envie du moment. Une interprétation plus contemporaine de l'automne.

 
 

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 "Marchez doucement car vous marchez sur mes rêves."

                                               William Butler Yeats

 

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 Calligraphie au pinceau en cursive gothique.

 

17 septembre 2013

Courges en papier mâché

Les pluies des derniers jours nous emmènent doucement vers le début de l'automne. Des envies de thé, de feu dans la cheminée, de mousses et de lichens, de soupe de potiron et d'odeurs de champignons. Des envies de déco automnale. Un fois n'est pas coutume, je vous livre un petit secret de fabrication. Voilà comment je réalise des courges en papier mâché.

 

Etape 1 : recouvrir la courge de film alimentaire. Celui-ci empêchera le papier de coller au légume. Couper de petits morceaux de papier. Plus le légume de base est rond et plus les morceaux de papier devront être petits afin de mieux en épouser les courbes. Papier journal, papier de soie, papier d'emballage de chaussures, ... tout est bon. Plus le papier est fin, plus il faudra de couches pour rendre la courge solide. Par contre, plus il est épais et moins bien il épousera les courbes et reliefs. Le choix du papier dépend donc de la forme à reproduire. Préparer votre colle. J'utilise de la colle à bois que je dilue à 50% avec de l'eau. J'en prépare une bonne quantité que je garde dans un pot à confiture. Ainsi, je peux le fermer et le garde plusieurs mois si nécessaire sans qu'il dessèche.

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Etape 2 : avec un pinceau, appliquer de la colle (colle à bois, colle blanche, colle à papier peint) sur une petite surface du film alimentaire. Appliquer un morceau de papier et le maroufler avec le pinceau. Procéder de la même façon sur toute la surface de la courge en veillant à croiser et superposer les morceaux de papier. Une fois cette première couche de papier appliquée, laisser sécher.

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Etape 3 : reprendre la même opération jusqu'à complet recouvrement de la courge. Plus le papier choisi est fin et plus il faudra de couches. En général, j'applique ainsi trois à cinq couches. Lorsque le papier est bien sec, le découper avec un cutter sur toute la circonférence de la courge. Puis, l'ouvrir délicatement en veillant à ne pas déformer ou déchirer le papier. Ces trois premières étapes ne doivent pas excéder quelques jours, au risque de voir pourrir la courge servant de support. Cette précaution prise, une même courge peut servir plusieurs fois.

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Etape 4 : repositionner les deux moitiés ainsi obtenues l'une sur l'autre de manière à reconstituer la courge. Utiliser de petits morceaux de papier encollés, positionnés régulièrement pour les maintenir ensemble. Une fois ces "rustines" sèches, la courge est assez solide. On peut alors fermer toute la ligne de séparation. Coller encore trois ou quatre couches de papier sur l'ensemble de la courge pour la rendre encore plus solide. Porter une attention toute particulière à la ligne de séparation pour faire disparaître la boursouflure de la cicatrice.

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Votre courge est maintenant terminée. A vous de décider de la finition que vous voudrez lui apporter : une couche supplémentaire d'un beau papier, une peinture, de la calligraphie, un verni ... Celle-ci n'a pas encore été finalisée. Mais voici celles de l'année dernière.

 

31 août 2013

Même pour le simple envol d'un papillon ...

 

... tout le ciel est nécessaire.                  

Paul Claudel

 

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 Carton encollé de pages de livres et de papier d'emballage. Papillon en pâte durcissant à l'air. Calligraphie en gestuelle à la gouache.

 

14 août 2013

Inspiration MCI


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Commencer ses vacances par la lecture de quelques vieux Marie Claire Idées a du bon. Cela donne de l'inspiration ... On y trouve de belles idées, mille fois vues mais jamais mises en application. Une fois n'est pas coutume, c'est encore le rangement qui va en bénéficier. Et si ces jolis motifs qui me font de l'oeil depuis plusieurs années finissaient sur mes boîtes d'archivage de revues ??! Ils leur donneraient quelques lettres de noblesse.

 

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19 juin 2013

Porte Eluard

Ca y est ! Notre jardin ouvert a été un vrai grand moment de bonheur. La porte calligraphiée pour l'occasion a rejoint le jardin et a accueilli les invités.  Et  sur les bons conseils de Makyloua (Un jour un objet), M. Coeur cannelle a caché la poignée avec une plaque de métal et un soliflore. Comme promis, quelques photos.

 

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